Contributisme et
autres contes

Si vous croyez encore en la politique, c’est-à-dire en la possibilité de penser notre avenir, peut-être trouverez-vous un intérêt à la lecture de ces quelques textes.

La critique du fonctionnement de notre société, souvent fondée sur l’émotion face à ce qui peut nous indigner, peut traduire la volonté de changement. Mais cela n’est pas suffisant pour formuler des propositions. Pour espérer ouvrir notre réflexion, dans un monde qui nous a façonné et nous a inculqué des habitudes de pensée, s’il nous faut perpétuellement apprendre il nous faut également savoir désapprendre. Cela passe par accepter de nous réinterroger sur ce qui peut sembler évident, et dépasser ce qui pourrait ne bien être que des a priori.

Nous pourrons alors être plus imaginatifs sur les solutions à apporter à nos problèmes de société, et converger plus facilement vers une réponse qui soit acceptable puis réclamée par une majorité de citoyens.

Ces quelques « contes » n’ont pas d’autre but que de susciter le questionnement, pour participer à leur manière au débat d’idées dans une société qui peut – et doit – décider de ce qu’elle veut devenir.